A VOTRE SANTE MONSIEUR PARPOT !
Par Christian Authier (Le Figaro Littéraire)
Monnier raconte l'histoire de son personnage fétiche dans des romans épistolaires d'un genre un peu spécial car aux traditionnelles lettres ou courriels s'agrègent des documents, des rapports d'analyses médicales, des billets de train ou d'avion, des SMS... Il se dégage de cette manière de conte un humour parfois corrosif mais jamais cynique, une tendresse sans affectation. Particule élémentaire de nos sociétés atomisées, Parpot cultive malgré lui une solitude de saint, une joie d'enfant. Découvrez-le dans ce roman aussi drôle qu'émouvant.
Marc Wetzel Les Belles Lettres (portail)
Alain Monnier – homme doué, séduisant et chanceux – se demande ce qu'il aurait vécu s'il ne l'avait pas été, ou ce qui arrive dès qu'on naît ou grandit sans les moyens de faire bien l'homme ; dans un génial personnage : Barthélémy PARPOT.
Homme solitaire (« l'humanité, c'est les autres »), résigné (« je sais que l'heure de renverser le cours des choses est passée »), indécis (« moi, je ne suis pas très fort pour savoir ce que je veux »), Parpot a le harcèlement naïf, la niaiserie extra-lucide, la sainteté prosaïque.
Cancéreux, de sa chambre 203, s'écrivant postalement à lui-même (pour pouvoir espérer aller mieux, ou avoir changé d'avis et d'humeur, à réception), attendant la dame en noir (« le plus terrible, c'est que je ne vais pas savoir quoi lui dire »), observateur infaillible (« la fin d'après-midi est l'heure où les gens qui ne sont pas malades quittent l'hôpital »), déclinant tout au-delà (« moi, personnellement, j'espère qu'il n'y a rien du tout après la mort sinon ça va encore faire des histoires et des jalousies »), Barthélémy – soudain entouré, par la baroque magie de l'hospitalisation – des femmes variées, ambigües et décisives dont toute sa vie a rêvé – saisit qu'on n'est clairvoyant que par hasard ou malentendu : entre l'inéluctable (« la mort me regarde droit dans les yeux même quand je tourne la tête ») et l'impossible (« trouver le remède qui rend heureux sans effet secondaire »), Monnier a, pour nous, la prodigieuse bonté d'appuyer là où ça pourrait ne plus faire mal.
JE VOUS RACONTERAI
Benoît Duteurtre Le Figaro Littéraire
Les bons romanciers composent des histoires riches, des intrigues subtiles à plusieurs voix. Chacun rêve pourtant de ce petit miracle qui se produit parfois dans une œuvre : une intrigue toute simple, bâtie d’un seul tenant, suivant sa propre logique de la première à la dernière page […] Dans son nouveau roman Alain Monnier nous tient en haleine par l’une de ces histoires au déroulement presque mathématique qui semblent exister avant même d’être écrites […] Outre l’art de raconter, avec autant d’efficacité que de naturel, l’auteur nous convie à une réflexion sur la fragilité des choses.
NOTRE SECONDE VIE
Aude Lancelin, Nouvel Obs, mai 2007 (extrait)
Après «le Cauchemar climatisé» de Henry Miller, le cauchemar pixélisé d'Alain Monnier. En quelle année sommes-nous au juste ? Bientôt sans doute. La planète entière a quasi été dévastée...
L'auteur de «Survivance» signe ici un de ses tout meilleurs romans, inspiré par Second Life, célèbre monde parallèle lancé sur internet en 2003... Entre conte moral glaçant et comédie façon « Sex and the City », Monnier multiplie les morceaux de pure fantaisie. Ainsi retrouve-t-on chez cet admirateur d'Orwell une ferme poststalinienne où les animaux sont passés aux Ray Ban et au libéralisme sauvage...
Tandis que le réel agonise, l'Histoire devient un jurassic park d'attractions sans épaisseur, et la nostalgie achève les meilleurs. Après «la Possibilité d'une île» de Houellebecq et ses clones dépressifs isolés sur une terre détruite, Alain Monnier, l'autre ingénieur de la littérature française, livre sa propre anticipation saisissante de notre après-demain.
GIVREE
Sébastien Lapaque, Le Figaro
La satire des dysfonctionnements de la société de consommation et de sa perfection informatique est à pleurer de rire […] Tout l’art d’Alain Monnier est de laisser de côté les mots du sociologue ou du philosophe pour le faire sentir avec des situations. Son écriture est claire et précise, avec de brusques changements de ton d’un grand effet comique. Les clins d’œil qui pimentent le livre ne rompent jamais la narration. Les personnages de Givrée vivent, souffrent, s’aiment, s’interrogent. Ils ont une évidence qui les rend attachants.
Christian Authier, L'opinion indépendante
Avec un humour acide Givrée nous dépeint un monde « sous contrat de maintenance », peuplé de services après-vente, de numéros de série et de pièces de rechange introuvables. On communique sans cesse avec des interlocuteurs invisibles que l’on ne comprend pas. Les machines s’emballent. Bref le progrès fait rage.
Gérard Pussey, ELLE
En quelques romans Alain Monnier a mis en place un univers bien à lui que la critique n’hésite pas à situer entre Swift et Orwell. Rien que ça ! Avec son nouvel ouvrage Monnnier montre qu’il a de la ressource en nous conviant à une farce plutôt bouffonne et légère, d’un optimisme inattendu sous sa plume.
PLACE DE LA TRINITE
Benoît Duteurtre, Marianne
"Place de la Trinité confirme, s'il était nécessaire, l'art très personnel de ce romancier de cinquante ans. Alain Monnier possède la simplicité, l’imagination et le naturel qui font les belles histoires : il sait les conjuguer avec une profondeur et un raffinement qui mettent un point d’honneur à rester discrets.
SURVIVANCE - Les Fargier (1895-2060)
Philippe Muray, Le Figaro Magazine
« Cela dit, pour couper court à toute accusation de négativité, je veux noter d'emblée que j'ai lu au moins un très beau livre "de rentrée" : celui d'Alain Monnier, Survivance, publié chez Climats, qui raconte en détail de manière prodigieusement drôle et perverse, sur plusieurs générations, la montée de l'humanité vers le cauchemar du bonheur perpétuel et virtuel»
PARPOT LE BIENHEUREUX
Aude Lancelin, Le Nouvel Obs
Une drogue dure, les livres d'Alain monnier. Ouvert dans une chambre d'hôtel par un matin glacé à Montpellier, «Signé Parpot», le tout premier d'entre eux, fut en ce qui nous concerne achevé d'une traite et comme sous hypnose, tout rendez-vous annulé. Inexplicablement ignoré par la quasi-totalité de la critique parisienne, ce Toulousain de 50ans auteur de six romans incroyablement singuliers, déconcertants de drôlerie et de démence totale, compte pourtant de fervents aficionados. A commencer par le philosophe Jean-Claude Michéa, publié par les mêmes exigeantes Editions Climats, et dont le conseil nous plongea l'an passé dans cette addiction immédiate et définitive.
Aujourd'hui, Alain Monnier publie «Parpot le bienheureux», dernier opus d'une trilogie entamée en 1994. Sans doute est-il l'un des rares auteurs aujourd'hui à pouvoir s'enorgueillir d'avoir créé un genre. Le thriller épistolaire, pour faire vite. Mêlant billets doux, lettres administratives, extraits de journaux intimes, coupures de presse locale et factures de garage, cet admirateur de Kafka et de la littérature de l'Est séquestre son lecteur dans les irrésistibles délires d'un harceleur dénommé Barthélémy Parpot.
...
«Si Bartleby pouvait dire autre chose que "I would prefer not to", ça donnerait forcément l'univers de Parpot», résume un Jean-Claude Michéa très admiratif. Appelé lui aussi à se prononcer sur le cas Parpot, le romancier Philippe Muray, autre «monnier maniac» de prestige, sort l'artillerie lourde. «Alain monnier est le Proust ou l'Homère du handicap mental devenu civilisation ordinaire. C'est le romancier de la vie tortionnaire et innocente. Avant lui, personne n'avait jamais fait ça.» Comble du culte, Monnier est un auteur culte pour auteurs cultes. Heureuse nouvelle toutefois, vous le trouverez aussi chez vos libraires
UN AMOUR DE PARPOT
André Comte-Sponville, L’Express.
« Le dénouement, imprévisible, fait penser à Mary Higgins Clark en plus profond et à Dostoïevski en plus drôle. On a envie d’applaudir et de prier. J’ignore tout de l’auteur, sauf ceci : il vient d’écrire un livre improbable et réussi, à la fois émouvant et cocasse, original, aussi singulier qu’universel. »
Jean Rouaud, Télérama
Dans un autre genre, j’ai beaucoup fait lire autour de moi un amour de Parpot (éd Climats). Un livre étonnant, drôle et novateur dans la forme. Il est composé de lettres et de journaux intimes émanant de divers narrateurs. Et l’on croit à toutes ces voix, elles sonnent juste. C’est aussi un beau livre sur la rédemption.
Télérama août 1997 – Jean Rouaud
SIGNE PARPOT
Cavanna Charlie Hebdo
"Tu aimes les polards ? Moi aussi.En voici un, pondu par un amateur qui ne le restera pas longtemps, je gage : Signé Parpot. Tu as yous les éléments de l’enquête : lettres, factures, rapports, chèques, ticket de train… Si tut trouves tu es plus fort que moi !"
LES OMBRES D'HANNAH
Charlotte Asper, Télérama.
« Torturé, inspiré, touchant, obsessionnel, détestable, lucide, Alain Monnier en remontrerait à bien des héros raciniens. L'histoire de cet amour ambigu, égaré dans le temps - imprécis - et dans l'espace - quelque part en Europe - brouille la piste du genre romanesque traditionnel et consacre Alain Monnier en tragédien hors classe. »
L'INSOLUBLE PROBLEME DE LA PRESENCE SUR TERRE
Martine Laval, Télérama:
«Aux insondables questions "Et pourquoi on vit, et pourquoi on meurt?", Alain Monnier rétorque par la dérision ou le vertige. (…)
C'est féroce et drôle, comme le texte final, Le discours d'ouverture, une parodie décapante des allocutions en grande pompe… qui se révèlent bien creuses. (…) Grotesque et salutaire !»
Par Christian Authier (Le Figaro Littéraire)
Monnier raconte l'histoire de son personnage fétiche dans des romans épistolaires d'un genre un peu spécial car aux traditionnelles lettres ou courriels s'agrègent des documents, des rapports d'analyses médicales, des billets de train ou d'avion, des SMS... Il se dégage de cette manière de conte un humour parfois corrosif mais jamais cynique, une tendresse sans affectation. Particule élémentaire de nos sociétés atomisées, Parpot cultive malgré lui une solitude de saint, une joie d'enfant. Découvrez-le dans ce roman aussi drôle qu'émouvant.
Marc Wetzel Les Belles Lettres (portail)
Alain Monnier – homme doué, séduisant et chanceux – se demande ce qu'il aurait vécu s'il ne l'avait pas été, ou ce qui arrive dès qu'on naît ou grandit sans les moyens de faire bien l'homme ; dans un génial personnage : Barthélémy PARPOT.
Homme solitaire (« l'humanité, c'est les autres »), résigné (« je sais que l'heure de renverser le cours des choses est passée »), indécis (« moi, je ne suis pas très fort pour savoir ce que je veux »), Parpot a le harcèlement naïf, la niaiserie extra-lucide, la sainteté prosaïque.
Cancéreux, de sa chambre 203, s'écrivant postalement à lui-même (pour pouvoir espérer aller mieux, ou avoir changé d'avis et d'humeur, à réception), attendant la dame en noir (« le plus terrible, c'est que je ne vais pas savoir quoi lui dire »), observateur infaillible (« la fin d'après-midi est l'heure où les gens qui ne sont pas malades quittent l'hôpital »), déclinant tout au-delà (« moi, personnellement, j'espère qu'il n'y a rien du tout après la mort sinon ça va encore faire des histoires et des jalousies »), Barthélémy – soudain entouré, par la baroque magie de l'hospitalisation – des femmes variées, ambigües et décisives dont toute sa vie a rêvé – saisit qu'on n'est clairvoyant que par hasard ou malentendu : entre l'inéluctable (« la mort me regarde droit dans les yeux même quand je tourne la tête ») et l'impossible (« trouver le remède qui rend heureux sans effet secondaire »), Monnier a, pour nous, la prodigieuse bonté d'appuyer là où ça pourrait ne plus faire mal.
JE VOUS RACONTERAI
Benoît Duteurtre Le Figaro Littéraire
Les bons romanciers composent des histoires riches, des intrigues subtiles à plusieurs voix. Chacun rêve pourtant de ce petit miracle qui se produit parfois dans une œuvre : une intrigue toute simple, bâtie d’un seul tenant, suivant sa propre logique de la première à la dernière page […] Dans son nouveau roman Alain Monnier nous tient en haleine par l’une de ces histoires au déroulement presque mathématique qui semblent exister avant même d’être écrites […] Outre l’art de raconter, avec autant d’efficacité que de naturel, l’auteur nous convie à une réflexion sur la fragilité des choses.
NOTRE SECONDE VIE
Aude Lancelin, Nouvel Obs, mai 2007 (extrait)
Après «le Cauchemar climatisé» de Henry Miller, le cauchemar pixélisé d'Alain Monnier. En quelle année sommes-nous au juste ? Bientôt sans doute. La planète entière a quasi été dévastée...
L'auteur de «Survivance» signe ici un de ses tout meilleurs romans, inspiré par Second Life, célèbre monde parallèle lancé sur internet en 2003... Entre conte moral glaçant et comédie façon « Sex and the City », Monnier multiplie les morceaux de pure fantaisie. Ainsi retrouve-t-on chez cet admirateur d'Orwell une ferme poststalinienne où les animaux sont passés aux Ray Ban et au libéralisme sauvage...
Tandis que le réel agonise, l'Histoire devient un jurassic park d'attractions sans épaisseur, et la nostalgie achève les meilleurs. Après «la Possibilité d'une île» de Houellebecq et ses clones dépressifs isolés sur une terre détruite, Alain Monnier, l'autre ingénieur de la littérature française, livre sa propre anticipation saisissante de notre après-demain.
GIVREE
Sébastien Lapaque, Le Figaro
La satire des dysfonctionnements de la société de consommation et de sa perfection informatique est à pleurer de rire […] Tout l’art d’Alain Monnier est de laisser de côté les mots du sociologue ou du philosophe pour le faire sentir avec des situations. Son écriture est claire et précise, avec de brusques changements de ton d’un grand effet comique. Les clins d’œil qui pimentent le livre ne rompent jamais la narration. Les personnages de Givrée vivent, souffrent, s’aiment, s’interrogent. Ils ont une évidence qui les rend attachants.
Christian Authier, L'opinion indépendante
Avec un humour acide Givrée nous dépeint un monde « sous contrat de maintenance », peuplé de services après-vente, de numéros de série et de pièces de rechange introuvables. On communique sans cesse avec des interlocuteurs invisibles que l’on ne comprend pas. Les machines s’emballent. Bref le progrès fait rage.
Gérard Pussey, ELLE
En quelques romans Alain Monnier a mis en place un univers bien à lui que la critique n’hésite pas à situer entre Swift et Orwell. Rien que ça ! Avec son nouvel ouvrage Monnnier montre qu’il a de la ressource en nous conviant à une farce plutôt bouffonne et légère, d’un optimisme inattendu sous sa plume.
PLACE DE LA TRINITE
Benoît Duteurtre, Marianne
"Place de la Trinité confirme, s'il était nécessaire, l'art très personnel de ce romancier de cinquante ans. Alain Monnier possède la simplicité, l’imagination et le naturel qui font les belles histoires : il sait les conjuguer avec une profondeur et un raffinement qui mettent un point d’honneur à rester discrets.
SURVIVANCE - Les Fargier (1895-2060)
Philippe Muray, Le Figaro Magazine
« Cela dit, pour couper court à toute accusation de négativité, je veux noter d'emblée que j'ai lu au moins un très beau livre "de rentrée" : celui d'Alain Monnier, Survivance, publié chez Climats, qui raconte en détail de manière prodigieusement drôle et perverse, sur plusieurs générations, la montée de l'humanité vers le cauchemar du bonheur perpétuel et virtuel»
PARPOT LE BIENHEUREUX
Aude Lancelin, Le Nouvel Obs
Une drogue dure, les livres d'Alain monnier. Ouvert dans une chambre d'hôtel par un matin glacé à Montpellier, «Signé Parpot», le tout premier d'entre eux, fut en ce qui nous concerne achevé d'une traite et comme sous hypnose, tout rendez-vous annulé. Inexplicablement ignoré par la quasi-totalité de la critique parisienne, ce Toulousain de 50ans auteur de six romans incroyablement singuliers, déconcertants de drôlerie et de démence totale, compte pourtant de fervents aficionados. A commencer par le philosophe Jean-Claude Michéa, publié par les mêmes exigeantes Editions Climats, et dont le conseil nous plongea l'an passé dans cette addiction immédiate et définitive.
Aujourd'hui, Alain Monnier publie «Parpot le bienheureux», dernier opus d'une trilogie entamée en 1994. Sans doute est-il l'un des rares auteurs aujourd'hui à pouvoir s'enorgueillir d'avoir créé un genre. Le thriller épistolaire, pour faire vite. Mêlant billets doux, lettres administratives, extraits de journaux intimes, coupures de presse locale et factures de garage, cet admirateur de Kafka et de la littérature de l'Est séquestre son lecteur dans les irrésistibles délires d'un harceleur dénommé Barthélémy Parpot.
...
«Si Bartleby pouvait dire autre chose que "I would prefer not to", ça donnerait forcément l'univers de Parpot», résume un Jean-Claude Michéa très admiratif. Appelé lui aussi à se prononcer sur le cas Parpot, le romancier Philippe Muray, autre «monnier maniac» de prestige, sort l'artillerie lourde. «Alain monnier est le Proust ou l'Homère du handicap mental devenu civilisation ordinaire. C'est le romancier de la vie tortionnaire et innocente. Avant lui, personne n'avait jamais fait ça.» Comble du culte, Monnier est un auteur culte pour auteurs cultes. Heureuse nouvelle toutefois, vous le trouverez aussi chez vos libraires
UN AMOUR DE PARPOT
André Comte-Sponville, L’Express.
« Le dénouement, imprévisible, fait penser à Mary Higgins Clark en plus profond et à Dostoïevski en plus drôle. On a envie d’applaudir et de prier. J’ignore tout de l’auteur, sauf ceci : il vient d’écrire un livre improbable et réussi, à la fois émouvant et cocasse, original, aussi singulier qu’universel. »
Jean Rouaud, Télérama
Dans un autre genre, j’ai beaucoup fait lire autour de moi un amour de Parpot (éd Climats). Un livre étonnant, drôle et novateur dans la forme. Il est composé de lettres et de journaux intimes émanant de divers narrateurs. Et l’on croit à toutes ces voix, elles sonnent juste. C’est aussi un beau livre sur la rédemption.
Télérama août 1997 – Jean Rouaud
SIGNE PARPOT
Cavanna Charlie Hebdo
"Tu aimes les polards ? Moi aussi.En voici un, pondu par un amateur qui ne le restera pas longtemps, je gage : Signé Parpot. Tu as yous les éléments de l’enquête : lettres, factures, rapports, chèques, ticket de train… Si tut trouves tu es plus fort que moi !"
LES OMBRES D'HANNAH
Charlotte Asper, Télérama.
« Torturé, inspiré, touchant, obsessionnel, détestable, lucide, Alain Monnier en remontrerait à bien des héros raciniens. L'histoire de cet amour ambigu, égaré dans le temps - imprécis - et dans l'espace - quelque part en Europe - brouille la piste du genre romanesque traditionnel et consacre Alain Monnier en tragédien hors classe. »
L'INSOLUBLE PROBLEME DE LA PRESENCE SUR TERRE
Martine Laval, Télérama:
«Aux insondables questions "Et pourquoi on vit, et pourquoi on meurt?", Alain Monnier rétorque par la dérision ou le vertige. (…)
C'est féroce et drôle, comme le texte final, Le discours d'ouverture, une parodie décapante des allocutions en grande pompe… qui se révèlent bien creuses. (…) Grotesque et salutaire !»